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Le Son du Désir audio érotique sans filtre et sans tabou - Derrière le bar (durée vip 13’)
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Derrière le bar (durée vip 13’)

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03/09/24 • 4 min

Le Son du Désir audio érotique sans filtre et sans tabou

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Allo ma chérie Je voulais te raconter une petite histoire qui m’est arrivée un jour. J’avais mes habitudes dans un café proche de chez moi. Je m’y rendais souvent de bon matin, lire le journal, ou un bouquin, envoyer quelques mails, préparer ma journée. Le gars qui tenait ça n’était ni austère ni agréable. Juste insignifiant. Mais ça m’était égal. Tant qu’il me servait ma boisson chaude et me laissait m’enfoncer dans son fauteuil club défoncé, tout allait bien. J’y entrais vers 8 heures, et en sortait vers 9, au moins un jour sur deux. Mais un matin, je fus tenté de rester un peu plus longtemps, et surtout, de revenir dès le lendemain. À la faveur d’un changement de propriétaire, une magnifique serveuse avait pris place en salle... L’endroit avait toujours eu un certain standing. Je veux dire par là que toutes les tables étaient recouvertes de nappes blanches et les garçons étaient en livraie. À présent qu il y avait une employée féminine, c’était une première, elle dut se mettre au diapason. Jupe noire, petit tablier blanc avec un peu de dentelle. Son Chemisier laissait entrevoir sa poitrine. Il y avait toujours un bouton qui résistait à l’appel de la bienséance. Comble du raffinement elle nouait ses cheveux à l’aide d’un ruban de soie blanche. Cela contrastait avec le rosé de ses lèvres. Divine. C’était comme cela que je me la nommais car elle ne donnait son prénom à personne. Elle était la, beauté sortie d’un rêve, et je nourrissait à son égard bien des fantasmes... oui très rapidement ce fut une évidence, j’étais si épris qu’il me fallait traduire cette attirance de façon charnelle. Parfois le destin nous conduit sur la route de la luxure sans prévenir, et franchement ce n’est pas désagréable ! Un matin que j’étais le seul client, ma divine serveuse eut besoin d’aide au bar. Elle avait fait une mauvaise chute à vélo la veille et son bras lui faisait mal aussi elle n’arrivait pas à enclencher le porte filtre dans la machine à expressos. Je dus donc l’aider. La, derrière le bar, j’étais avec elle, presque contre elle à accompagner son geste. Ensemble nous avons efficacement effectué le geste habituel de tout barista sauf qu’une fois le café prêt à couler, nous nous sommes embrassés. Impossible de me souvenir qui d’elle ou de moi avait accroché ses lèvres à l’autre mais il était clair que nous attendions tout deux ce moment. C’est là que tout prit un tour assez insolite. À cet instant son patron arriva. Il ne venait habituellement jamais à cette heure là aussi elle en fut particulièrement surprise et appuya sur ma tête pour me faire disparaître. J étais donc à genoux coincé entre les tuyaux de la pompe à bière de derrière le bar et ses jambes. Elle m’avait poussé le plus possible pour que son patron à présent accoudé au zinc ne remarque rien de ma présence et pour me faire disparaître davantage elle avait entrepris de me cacher sous son jupon. Là, j’avais le nez et la bouche face à sa culotte, et je sentais que le petit jeu l’amusait beaucoup. Elle prenait un malin plaisir à m’écraser le visage contre son intimité, tout en parlant à son patron. Alors je fus pris d’une envie de lécher.. mais plutôt que de te raconter tous les détails de cette histoire, je vais te la faire vivre. Parce que cette serveuse cela pourrait bien être toi ma chérie, un petit jeu de rôle et tu es là en parfaite employés de ce café très chic, dessinant une pyramid...

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Allo ma chérie Je voulais te raconter une petite histoire qui m’est arrivée un jour. J’avais mes habitudes dans un café proche de chez moi. Je m’y rendais souvent de bon matin, lire le journal, ou un bouquin, envoyer quelques mails, préparer ma journée. Le gars qui tenait ça n’était ni austère ni agréable. Juste insignifiant. Mais ça m’était égal. Tant qu’il me servait ma boisson chaude et me laissait m’enfoncer dans son fauteuil club défoncé, tout allait bien. J’y entrais vers 8 heures, et en sortait vers 9, au moins un jour sur deux. Mais un matin, je fus tenté de rester un peu plus longtemps, et surtout, de revenir dès le lendemain. À la faveur d’un changement de propriétaire, une magnifique serveuse avait pris place en salle... L’endroit avait toujours eu un certain standing. Je veux dire par là que toutes les tables étaient recouvertes de nappes blanches et les garçons étaient en livraie. À présent qu il y avait une employée féminine, c’était une première, elle dut se mettre au diapason. Jupe noire, petit tablier blanc avec un peu de dentelle. Son Chemisier laissait entrevoir sa poitrine. Il y avait toujours un bouton qui résistait à l’appel de la bienséance. Comble du raffinement elle nouait ses cheveux à l’aide d’un ruban de soie blanche. Cela contrastait avec le rosé de ses lèvres. Divine. C’était comme cela que je me la nommais car elle ne donnait son prénom à personne. Elle était la, beauté sortie d’un rêve, et je nourrissait à son égard bien des fantasmes... oui très rapidement ce fut une évidence, j’étais si épris qu’il me fallait traduire cette attirance de façon charnelle. Parfois le destin nous conduit sur la route de la luxure sans prévenir, et franchement ce n’est pas désagréable ! Un matin que j’étais le seul client, ma divine serveuse eut besoin d’aide au bar. Elle avait fait une mauvaise chute à vélo la veille et son bras lui faisait mal aussi elle n’arrivait pas à enclencher le porte filtre dans la machine à expressos. Je dus donc l’aider. La, derrière le bar, j’étais avec elle, presque contre elle à accompagner son geste. Ensemble nous avons efficacement effectué le geste habituel de tout barista sauf qu’une fois le café prêt à couler, nous nous sommes embrassés. Impossible de me souvenir qui d’elle ou de moi avait accroché ses lèvres à l’autre mais il était clair que nous attendions tout deux ce moment. C’est là que tout prit un tour assez insolite. À cet instant son patron arriva. Il ne venait habituellement jamais à cette heure là aussi elle en fut particulièrement surprise et appuya sur ma tête pour me faire disparaître. J étais donc à genoux coincé entre les tuyaux de la pompe à bière de derrière le bar et ses jambes. Elle m’avait poussé le plus possible pour que son patron à présent accoudé au zinc ne remarque rien de ma présence et pour me faire disparaître davantage elle avait entrepris de me cacher sous son jupon. Là, j’avais le nez et la bouche face à sa culotte, et je sentais que le petit jeu l’amusait beaucoup. Elle prenait un malin plaisir à m’écraser le visage contre son intimité, tout en parlant à son patron. Alors je fus pris d’une envie de lécher.. mais plutôt que de te raconter tous les détails de cette histoire, je vais te la faire vivre. Parce que cette serveuse cela pourrait bien être toi ma chérie, un petit jeu de rôle et tu es là en parfaite employés de ce café très chic, dessinant une pyramid...

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undefined - Celle du bureau (conte érotique)

Celle du bureau (conte érotique)

épisode spécial Le Son du Désir !

Celle du bureau

À une certaine époque de ma vie, j’ai été employé dans une agence d’attachés de presse. Celle- ci était spécialisée dans le monde de la culture . Mes seules motivations pour y travailler tenaient en trois points:

Premièrement il faut bien gagner de quoi payer son loyer ! Ensuite, grâce à cet emploi j’obtenais de nombreuses invitations chaque semaine pour des vernissages à Paris . Enfin, troisième raison et non des moindres , j’y avais trouvé une sorte de planque car si j’arrivais à créer l’illusion que j’œuvrais d’arrache-pied aux missions que l’on me confiait, la réalité était tout autre. Je m’arrangeais pour boucler le travail exigé en deux, trois heures le matin, afin de pouvoir buller discrètement l’après-midi.

J’étais ravi de découvrir chez cette jeune femme un appétit sexuel indécelable au premier abord.C’était elle, qui venait toujours me chercher . J’en étais presque intimidé. Si lors de nos premiers rendez-vous , nous mettions un certain temps à nous coller l’un à l’autre et à nous dévêtir, assez rapidement, Amélie avait adopté une attitude plus autoritaire me concernant . Elle m’appelait, me désignait un lieu, un recoin,une porte, un couloir, un bureau, un fauteuil et elle ne s’offrait pas à moi, non, elle s’offrait à nous . C’était comme si elle devenait une autre, qu’elle se révélait à elle-même, qu’elle se transformait en celle du bureau , c’est à dire, en un personnage qu’elle s’inventait de toutes pièces afin de se donner la force et le courage d’oser. Bien évidemment, j’adorais cela .

C’était excitant de faire l’amour dans les toilettes, sur le canapé de l’accueil, sur le bureau du stagiaire, sur celui du responsable commercial que je n’aimais pas, et sur celui de mon patron surtout. Elle, à genoux sur le fauteuil du PDG, se cramponnait au large dossier de cuir, qu’elle mordait à certains moments. Et moi, derrière ses fesses si douces, qu faisais reculer à chaque coup de reins que je donnais le siège à roulettes qui n’en finissait pas de couiner. Dans cette situation, seul mon sexe rentrait en contact avec elle. Je me contentais de tirer sur les accoudoirs entre lesquels elle était installée, afin de faire aller et venir vers moi la cavalière et sa monture.

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undefined - Vous émois (vouvoiement et séduction)

Vous émois (vouvoiement et séduction)

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Allo ma cherie, Et si je te disais Vous? Qu’en dirais-tu ? Enfin... qu’en diriez-vous ? Ma chérie... J'évoque le vouvoiement parce que je trouve dommage que le Vous se soit perdu . On se rencontre et d'emblée on se dit tu. Souvent le vous, joue l'absent , on le tue, il est mort .Et si on s'imaginait, justement, dans le meilleur des mondes, une rencontre entre toi et moi ? .. Non . Entre vous et moi ...une rencontre dans le réel qui n'aurait pas commencé par message ou à distance, mais qui aurait été initiée , là, dans le feu de la vie, dans la beauté du vrai monde . On se croise, on se plait, on s’anime, on se touche... avec nos regards d'abord, puis avec nos mots , avec nos envies, notre emotion ... et entre nous, surtout, le vous. Ce Vous qui ajoute du trouble au trouble , qui donne à la rencontre un charme si particulier.... Vous le savez vous, oui ,vous, qui êtes là, à m’écouter en secret, vous connaissez l’importance de ce simple vous . Il est essentiel, indispensable même au jeu de la séduction puisqu il permet le passage au tutoiement, dans les minutes les plus crues, les secondes les plus chaudes. Ce vous qui ouvre parfois la voie à la transgression... aussi... pour toi, je vais réhabiliter le vous. Car il n’y a qu’avec toi que je pourrai vivre cette aventure. Ah non, pardon, il n’y a qu’avec vous que je pourrai la vivre. Imaginez. Vous et moi. On ne se connaît pas, Nous marchons chacun de notre côté dans le centre d’une métropole de France. C’est l’été. Et pourtant il pleut. Une pluie chaude, mais drue . Dans ce quartier commerçant, aujourd’hui il n’y a pas foule . Et l'averse soudaine a fait fuir tout ceux qui y flânaient . Tous en courant sont partis se mettre à l’abri. Toi et moi, c’est sous l'avancée d’un petit magasin de parapluies dont les portes closes nous narguent ironiquement que nous nous sommes réfugiés le temps que cesse l'ondée qui nous a surpris. . Il est des rencontres dont on sait qu'elles n'ont rien avoir avec le hasard. Moi je les appelle miracles des identités remarquées. Ce rendez vous imprévu avec cet autre , celui ou celle avec qui on pourra s’entendre à merveille, celle ou celui avec qui la complémentarité sera parfaite, cet autre-là, dans nos vies, surgit soudain devant nous. On le sent. On le distingue parmi la multitude et on se reconnaît mutuellement , souvent même sans se dire grand chose et , c’est en cela que cette convocation du destin est fascinante . Ce n’est pas vraiment son double qu’on rencontre, non, c’est bien mieux que cela c’est quelqu’un qui nous ressemble, quelqu'un avec qui on pourra s’assembler de façon aussi évidente que délicieuse. Ces rencontres sont des mystères ...et là, sous cet auvent j'éprouve exactement cette sensation , celle de sentir près de moi cet autre, une présence près de moi , la tienne. L'intuition ou un pressentiment me fait tourner la tête dans ta direction. Le sentiment d’être appelé, happé même. C’est toi, sublime inconnue qui en un clin d’œil me séduit . Nous sommes tous les deux à attendre sous un rectangle de toile battue par les grosses gouttes. Je dois te parler. Ou le regretter à jamais.

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