CÔTE D'IVOIRE : DES LÉGISLATIVES QUI CONSACRENT LA VICTOIRE DE OUATTARA

01/22/21 • 6 min

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De vous à moi, le podcast afro de Théophile Kouamouo

Il faut bien l’admettre. Les élections législatives qui se tiendront le 6 mars prochain en Côte d’Ivoire consacreront la victoire d’Alassane Ouattara sur ses adversaires politiques. Mais aussi, malheureusement, sur tous les citoyens ivoiriens qui se sont dressés, à raison, contre son projet de troisième mandat.

Pour une raison simple, en allant à ce rendez-vous, son opposition reconnaît, sinon sa légitimité, du moins son droit à régner. Là où il y a quelques mois, des dizaines d’Ivoiriens mouraient en s’opposant à celui qui était alors considéré comme un ex-président à dégager au plus vite.

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Version audio de mon intervention sur le journal Afrique de TV5MONDE. Il était question de décrypter les enjeux de la rencontre entre Assoa Adou et Pascal Affi N'Guessan, après la sortie de prison de ce dernier ; et surtout d'interroger le sens profond du dégel entre les deux tendances du FPI, séparées par une forte inimitié depuis une décennie.

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Salut à toutes et à tous,

Vous êtes sur De vous à moi, mon podcast afro, disponible sur Afrospik, mais aussi sur Apple Podcasts, Podcast Addict, Pocket et toutes les autres plateformes de streaming. Je suis Théophile Kouamouo, journaliste, et je voudrais inaugurer ici une rubrique que j’espère pérenne : une sorte de bloc-notes hebdomadaire qui revient sur les actualités d’Afrique et d’ailleurs m’ayant m’ont marqué.

Aujourd’hui, je voudrais aborder trois sujets :

en Côte d’Ivoire, la mystérieuse maladie d’Hamed Bakayoko, le Premier ministre ivoirien, qui relègue presque au second plan les élections législatives qui se profilent ;
en France, Vincent Bolloré, qui pensait que plaider coupable dans une affaire de corruption au Togo lui éviterait un procès et s’est pris les pieds dans le tapis ;
et au Sénégal, cette brumeuse affaire Sonko qui pourrait bien traduire la volonté de Macky Sall de quitter le pouvoir en choisissant son successeur ou alors une tentation encore inexprimée du troisième mandat.

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