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Les Contrariantes

Les Contrariantes

Le Point

Amoureux de la raison, de la liberté et de la démocratie, John Stuart Mill observait : « Ce n’est que par la confrontation des opinions adverses que l’on a une chance de découvrir le reste de la vérité. » Hélas, notre époque semble avoir oublié cet esprit de la controverse féconde. Partout, on s’enferme dans des clans intellectuels jaloux de leur périmètre et de leur pureté. On transforme des oppositions normales d’idées en guerre culturelle et idéologique. On publie tribunes et pétitions sur ses engagements sans avoir envie de discuter avec ceux qui ne les partagent pas. On dénonce beaucoup, mais cette posture moralisatrice confondant l’indignation et l’argumentation ressemble à s’y méprendre à une extinction de la pensée critique. L’intimidation, l’autocensure et le conformisme n’ont jamais été les bases d’une démocratie vivante et sûre d’elle-même, mais plutôt les préludes des tyrannies. Peggy Sastre et Laetitia Strauch-Bonart entendent faire mentir l’époque. Après un tour de chauffe où elles se secoueront l’une l’autre les plumes, les Contrariantes recevront toutes les deux semaines des acteurs de la vie intellectuelle, culturelle, politique et scientifique pour parler de l’actualité et de l’inactualité des idées. Le programme est vaste : sortir des tribus et des bulles, aborder des sujets sérieux sans esprit de sérieux et des polémiques sans velléité excommunicatrice, préférer les faits aux émotions, les idées aux mots d’ordre, les connaissances aux tabous et aux totems. La parole et la pensée ne valent rien si elles ne peuvent être libres. Les Contrariantes offrent un nouvel espace pour cette liberté.

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Top 10 des épisodes de Les Contrariantes

Goodpods a dressé une liste des 10 meilleurs épisodes de Les Contrariantes, classés en fonction du nombre d'écoutes et de likes que chaque épisode a recueillis auprès de nos auditeurs. Si vous écoutez Les Contrariantes pour la première fois, il n'y a pas de meilleur endroit pour commencer que l'un de ces épisodes exceptionnels. Si vous êtes fan de l'émission, votez pour votre épisode de Les Contrariantes préféré en ajoutant vos commentaires sur la page de l'épisode.

En plein non-débat présidentiel, et alors que la guerre assombrit l'Europe, la question de la défense de notre mode de vie et de nos valeurs rejaillit comme elle ne l'avait pas fait depuis longtemps. C'est l'occasion pour les Contrariantes d'évoquer un sujet aussi large que chauvin, notre douce France. Pour ce faire, elles se penchent sur le dernier ouvrage publié par l'une d'elles, De la France. Ce pays que l'on croyait connaître (Perrin/Presses de la cité), qui analyse les difficultés chroniques de notre pays mais aussi ses réussites. Point de départ de la discussion, la confrontation de deux visions différentes, l'une lyrique et affective, l'autre, celle de notre autre Contrariante, qui n’est pas loin de celle que l'écrivain Michel Houellebecq décrivait en recevant le prix Goncourt en 2010 : « Je ne suis pas un citoyen et je n’ai pas envie de le devenir. Le devoir par rapport à son pays, ça n’existe pas, il faut le dire aux gens. On est des individus. La France est un hôtel, rien de plus. » Alors, la France est-elle seulement le pays où nous habitons ou bien quelque chose de plus et autre ? Réponse dans cette édition spéciale des Contrariantes.



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Alors que le Salon de l’agriculture, rituel national s’il en est, ouvrira ses portes à la fin février, les Contrariantes ont jugé plus qu’opportun d’inviter l’une des voix les plus audacieuses du moment sur un sujet qui divise notre pays aux 246 fromages, la journaliste Emmanuelle Ducros. Après avoir fait ses études à l’Institut d’études politiques de Grenoble en 1995, puis à l’École supérieure de journalisme de Lille, elle s’est spécialisée dans le secteur de l’économie pendant plusieurs années et c’est à ce titre que, depuis 2013, elle s’occupe des questions de transports, d’agriculture et d’alimentation pour le journal L’Opinion.


Ses prises de position sur l’agriculture lui attirent régulièrement les foudres des écologistes et même de certains organes de presse, comme lorsque, en 2019, elle avait renvoyé, chiffres à l’appui, l’émission star de France 2 Envoyé spécial à son sensationnalisme et ses contre-vérités.


En plus de sa dénonciation des « discours alarmistes » sur les pesticides comme le glyphosate, Emmanuelle Ducros est également critique du bio tant elle estime que sa généralisation à l’échelle de la planète pourrait conduire à une déforestation massive, d’autant qu’il n’apporte pas de clairs bénéfices de santé. Et elle ne voit pas non plus d’un très bon œil des associations antispécistes qui, comme L214, veulent « purement et simplement l’abolition de l’élevage », selon elle.


Un discours qui, certes, détonne, mais qui est toujours méticuleusement étayé de données et d’études scientifiques... contrairement à bon nombre de ses détracteurs.



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En temps de crise, d’urgence, quand un pays, une région et même tout un monde semble sombrer, un réflexe courant consiste à larguer la liberté par-dessus bord. On serre les vis maintenant, les circonstances l’exigent, on aura bien le temps de voir plus tard. Après tout, la liberté n’est-elle pas un luxe permis par des temps paisibles et prospères ?


Pour Mathieu Slama, invité du nouvel épisode des Contrariantes, il en va au contraire d’un des pires périls qu’une société peut affronter, sans aucune garantie de s’en remettre à court et moyen terme. Consultant et analyste politique, enseignant en communication politique, Mathieu Slama a commencé sa carrière d’essayiste en 2016, avec un premier livre publié aux éditions de Fallois, La Guerre des mondes, réflexion sur la croisade idéologique de Poutine contre l’Occident, plus que jamais d’actualité à l’heure de l’invasion russe de l’Ukraine.


Mais c’est surtout pour son Adieu la liberté, essai sur la société disciplinaire, paru en janvier aux Presses de la Cité, que Peggy Sastre et Laetitia Strauch-Bonart ont décidé de convier Mathieu Slama à leur micro. Dans ce livre, l’essayiste y analyse, avec l’aide de Michel Foucault, Gilles Deleuze et Giorgio Agamben, le tournant décrit comme liberticide que la pandémie de Covid-19 a fait prendre à la France, pays pourtant réputé pour sa passion de la liberté et de l’anticonformisme.


« Avec l’assentiment d’une majorité de Français, écrit Mathieu Slama, une société de l’ordre et de la surveillance s’est installée ; la démocratie est devenue management, le politique s’est effacé devant la science et les citoyens libres se sont transformés en population docile à discipliner. Une éclipse de la liberté préparée de longue date par des renoncements successifs. » Selon l’essayiste, la crise sanitaire n’a fait en réalité que cristalliser un mouvement plus ancien et remontant notamment aux années 2010 avec la réaction au terrorisme islamiste. Pour, en fin de compte, révéler un nouveau totalitarisme « soft », fondé sur une idéologie du « safe ».



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Les Contrariantes - Y a-t-il un wokisme français ?
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12/24/21 • 39 min

Pour ce dernier numéro de l’année, les Contrariantes ont décidé de satisfaire les (nombreuses !) réclamations reçues concernant la disparition de leurs discussions et le (trop !) récurrent sacrifice de leurs célèbres contrariétés au profit des grands entretiens par un numéro spécial... sans invité et entièrement consacré à un échange entre Laetitia Strauch-Bonart et Peggy Sastre.


Au programme : qu’est-ce que le wokisme et a-t-il ses chances en France ? Est-ce un mouvement avec une réelle substance et une idéologie propre ou faut-il plutôt y voir l’énième résurgence d’un bureaucratisme autoritaire et liberticide, une nouvelle révolution culturelle (pour le moment) désarmée ? La France, par son indifférence, voire sa répugnance vis-à-vis des logiques identitaristes est-elle plutôt immunisée contre la déferlante des « identity politics », a priori bien plus adaptées aux cultures anglo-américaines ou, au contraire, constitue-t-elle, avec son républicanisme centralisateur, sa passion pour les « grands récits » et son manque d’esprit véritablement libéral le creuset parfait pour une mise au pas woke ?


Ce sont quelques-unes des questions que se renvoient nos Contrariantes, dans une émission riche en bonne humeur et qui nous fait entendre combien, sur le sujet, elles sont loin d’être toujours sur la même longueur d’onde.



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Les Contrariantes - Entretien avec Olivier Sibony
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11/26/21 • 63 min

S’il est courant de croire notre humanité affligée par l’irrationalité, c’est bien l’usage de la raison qui nous aura permis de comprendre pourquoi nos cervelles sont si bien faites pour faire n’importe quoi. Les biais cognitifs, tous ces mauvais plis pris par notre esprit au cours de son évolution et nous faisant voir la réalité non pas telle qu’elle est mais telle qu’elle nous arrange (et profite à nos gènes), sont les fruits aujourd’hui parmi les mieux connus de cette entreprise métacognitive – la pensée sur la pensée. Avec son best-seller Vous allez commettre une terrible erreur (Flammarion, 2019), synthèse de ses travaux de recherche sur les biais cognitifs et comportementaux, Olivier Sibony fait partie de ceux que l’on peut amplement remercier pour cela.

Avec le psychologue et économiste, Daniel Kahneman, lauréat du prix Nobel d’économie en 2002, et le juriste et philosophe Cass Sustein, célèbre coconcepteur du « nudge », Olivier Sibony, l’invité du numéro 24 des Contrariantes, cosigne cette année Noise, dont la version française vient de sortir chez Odile Jacob dans une traduction de Christophe Jaquet revue par ses soins.

L’ouvrage se consacre à une autre infirmité de notre raison, cette fois-ci collective : le bruit. Comme le détaillait Kahneman dans une interview donnée au magazine scientifique britannique New Scientist, le bruit est « la quantité de désaccords entre des individus ayant à émettre un jugement professionnel. Pensez à une organisation, un système médical ou judiciaire, par exemple, dans laquelle des gens effectuent des tâches de jugement. Le bruit est la variabilité de leurs jugements sur une même tâche ». Quand les sentences de 208 juges fédéraux américains sont analysées pour trouver que, sur des dossiers similaires, les condamnations vont de cinq à neuf ans de prison, c’est que ces décisions sont bruitées. Et Sibony d’être encore plus laconique : « Partout où il y a du jugement, il y a du bruit. Et bien plus que vous pourriez le penser. »



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Les Contrariantes - Entretien avec Sylvie Topaloff
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10/29/21 • 60 min

Sylvie Topaloff est avocate, inscrite au barreau de Paris depuis 1976. Elle se spécialise au départ en droit de la famille et devient à l’époque l’un des fers de lance de la section féminine du Mouvement d’action judiciaire, une organisation d’extrême gauche fondée au lendemain de Mai 68. Cet engagement lui fera notamment organiser des voyages à Amsterdam pour permettre aux femmes d’avorter avant la loi Veil. Elle résumait dans un portrait que Baudouin Eschapasse lui consacrait dans en mai dernier : « Je me rends compte rétrospectivement que, si je suis devenue avocate, c’est pour porter la voix des femmes dans les prétoires. »


Plus tard, la juriste s’oriente dans le droit social et, dans les années 1990, la défense de travailleurs maliens sans papiers souffrant de graves pathologies pulmonaires lui fait comprendre que, s’ils sont si malades, c’est parce qu’ils ont inhalé des poussières toxiques sur le chantier de décontamination du campus de Jussieu où ils étaient employés. C’est ce dossier de l’amiante qui la fera travailler avec Jean-Paul Teissonnière, en 1996, et tous deux vont s’atteler pendant près de dix ans à obtenir des réparations civiles mais aussi des sanctions pénales contre les responsables de cette catastrophe sanitaire à l’origine de 2 000 à 3 000 cancers mortels par an.


En 2002, ils fondent un cabinet commun, le cabinet TTLA (Teissonniere Topaloff Lafforgue Andreu), qui se concentre sur la défense des victimes du travail dans tous les domaines de l’industrie, en lien étroit avec les syndicats et les associations de défense des victimes. Ce cabinet compte aujourd’hui douze associés et une quarantaine de salariés répartis entre Paris et Marseille.

En plus du dossier de l'amiante, on retrouve l’invitée des Contrariantes dans nombre de grands procès de notre époque, comme celui de France Télécom, du Mediator, d’AZF. Et Sylvie Topaloff fait aujourd’hui partie des avocats des parties civiles au procès des attentats du 13 Novembre, où elle représente dix-neuf clients, dont les familles de quinze victimes, parmi lesquelles trois sont décédées. Un procès, comme elle le détaille au micro de Lætitia Strauch-Bonart et Peggy Sastre, permettant de poser « la question de savoir ce qu’est devenu notre pays ». Vaste programme.



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Les Contrariantes - Entretien avec Camille Emmanuelle
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10/01/21 • 44 min

Camille Emmanuelle est journaliste, spécialisée dans les questions de genre et de sexualité, mais aussi essayiste et romancière. On l’a lue, entre autres, dans Les Inrocks et L’Obs. Parmi ses publications, on lui doit le guide Paris couche-toi là ! (Parigramme, 2014), le roman Le Goût du baiser (Thierry Magnier, 2019) ou encore les essais Sang tabou : ne plus jamais rougir de nos règles (La Musardine, 2017) et Sexpowerment : le sexe libère la femme (et l’homme) aux éditions Anne Carrière en 2016. Dans cette même maison, Camille Emmanuelle est éditrice et dirige la collection « Sex Appeal ».


Mais c’est pour le livre Ricochets. Proches de victimes d’attentats : les grands oubliés, paru chez Grasset le 1er septembre, que Peggy Sastre et Laetitia Strauch-Bonart ont choisi d’en faire la seconde invitée de la nouvelle saison des Contrariantes. Un ouvrage obligeant à enfreindre la loi fondamentale de la séparation entre la femme et l’artiste puisque, pour commencer à le comprendre, il faut savoir que Camille Emmanuelle est à la ville l’épouse de Luz, dessinateur et longtemps caricaturiste pour Charlie Hebdo. Le 7 janvier 2015, c’est grâce à une panne de réveil – la veille, ils avaient trop arrosé son anniversaire – qu’il échappera à l’attentat des frères Kouachi en arrivant en retard à la conférence de rédaction...


Dans l’après-midi, Camille Emmanuelle est aux côtés de son époux pour un premier entretien psychologique à l’hôpital. La psychologue se tourne vers elle : « Et vous, comment allez-vous ? » Pourquoi cette question ? Elle va bien, ce n’est pas elle qui est traumatisée ! Mais, pour la thérapeute, son lien avec une victime fait de Camille une « victime par ricochet ».


C’est sur ce sujet méconnu, reconnu par la psychiatrie en 2013 à peine, que Camille Emmanuelle livre une enquête aussi personnelle que journalistique qui l’a fait aller à la rencontre d’autres proches de victimes, de psys, d’avocats, de sociologues et même d’un jardinier pour s’interroger sur ce qu’être « ricochet » – elle refuse désormais de lui associer le « victime par » – implique et signifie. Si l’entretien avec les Contrariantes est ponctué de ses éclats de rire, Camille Emmanuelle ne cache rien de la trajectoire chaotique que peut prendre la « résilience ». Et elle n’étouffe pas non plus sa colère face aux défaillances de l’État ou à l’indécence de ses (anciens) amis qui auront craché sur des cadavres encore tièdes en faisant le procès de la liberté d’expression.



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Les Contrariantes - L’insécurité en France & Anne-Cécile Robert
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05/21/21 • 72 min

Peggy Sastre et Laetitia Strauch-Bonart décryptent la réémergence du débat sur l’insécurité puis reçoivent la journaliste du « Monde diplomatique. »

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Peggy Sastre et Laetitia Strauch-Bonart s'interrogent sur l'intérêt mitigé des Français pour la théorie de l'évolution puis accueillent les dirigeants de l'Institut économique Molinari.

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On ne présente plus Philippe Val. Journaliste, écrivain et essayiste, il fut pendant dix-sept ans à la tête du célèbre journal satirique Charlie Hebdo. Auteur de plus de vingt ouvrages publiés durant ce qu’on peut désormais qualifier de longue carrière, son dernier livre paru aux éditions de l’Observatoire s’intitule Dictionnaire philosophique d’un monde sans Dieu. Un titre évocateur, mais qui n’est guère surprenant pour celui qui, à l’intérieur ou à l’extérieur de la rédaction de Charlie Hebdo, a toujours revendiqué une forme décomplexée d’athéisme militant.


Cette irrévérence à l’égard d’un dieu improbable se conjugue cependant sans difficulté avec la sympathie pour les croyants qui ne ressentent guère le besoin de manier sur terre un quelconque glaive divin. Hélas, le chemin pour que l’obscurantisme dépose les armes est encore long. Face au fanatisme, « il n’est d’autre remède à cette maladie épidémique que l’esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les mœurs des hommes, et qui prévient les accès du mal », disait Voltaire.


Tel est l’esprit qui anime Philippe Val dans ce riche entretien, où se mêlent de profondes réflexions sur le fait religieux, la possibilité de s’épanouir dans un monde sans dieu, la dette que notre civilisation devrait au christianisme, la place de l’islam et des minorités postcoloniales... Rencontre avec un libre-penseur bien décidé à le rester.



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FAQ

Combien d'épisodes Les Contrariantes a-t-il ?

Les Contrariantes currently has 41 episodes available.

Quels sujets Les Contrariantes couvre-t-il ?

The podcast is about News and Podcasts.

Quel est l'épisode le plus populaire sur Les Contrariantes ?

The episode title 'Olivia Dufour : « Nous sommes jugés par un système épuisé »' is the most popular.

Quelle est la durée moyenne des épisodes sur Les Contrariantes ?

The average episode length on Les Contrariantes is 58 minutes.

À quelle fréquence les épisodes de Les Contrariantes sont-ils publiés ?

Episodes of Les Contrariantes are typically released every 14 days.

Quand le premier épisode de Les Contrariantes a-t-il été diffusé ?

The first episode of Les Contrariantes was released on Oct 2, 2020.

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