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L'info s'éclaire

L'info s'éclaire

France Télévisions

Dans "L"info s'éclaire", Axel de Tarlé décrypte, en compagnie de journalistes de France Télévisions et d'experts, l'actualité du jour en France ou dans le monde, à travers des reportages et des analyses de la rédaction.


Ce débat, réalisé en direct sur un thème précis de l'actualité politique, sociale, économique ou culturelle, permet aux quatre invités, spécialistes du sujet, de partager leurs analyses et au public de comprendre l'information dans sa globalité.


Retrouvez L'info s'éclaire en replay sur france.tv

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Meilleurs épisodes

Top 10 des épisodes de L'info s'éclaire

Goodpods a dressé une liste des 10 meilleurs épisodes de L'info s'éclaire, classés en fonction du nombre d'écoutes et de likes que chaque épisode a recueillis auprès de nos auditeurs. Si vous écoutez L'info s'éclaire pour la première fois, il n'y a pas de meilleur endroit pour commencer que l'un de ces épisodes exceptionnels. Si vous êtes fan de l'émission, votez pour votre épisode de L'info s'éclaire préféré en ajoutant vos commentaires sur la page de l'épisode.

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L'info s'éclaire - Industrie, économie… Pourquoi l’Europe décroche ?
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11/12/24 • 81 min

Nos invités :

  • Élie Cohen, économiste, directeur de recherche émérite au CNRS
  • Véronique Riches-Flores, économiste, fondatrice de RichesFlores Research
  • Isabelle Raymond, cheffe du service économie et social à franceinfo

L’horizon s’assombrit dans le ciel économique français. Les plans sociaux et les menaces de suppressions de postes se multiplient. 2400 emplois chez Auchan, deux sites industriels fermés, et 1250 postes en moins chez le géant du pneu Michelin, ou encore 450 menacés chez Vencorex, fabricant de peintures près de Grenoble en redressement judiciaire. De nombreuses menaces sur l’emploi que confirme le gouvernement : doit-on s’attendre à une série noire économique dans les mois à venir ?

Certains indicateurs sont petit à petit en train de virer au rouge. Il y a par exemple plus de 66 000 défaillances d’entreprises dans tout le pays, un record. Les chiffres du chômage, descendus à 7%, pourraient flamber à nouveau, et grimper à 8% l’année prochaine. Une nouvelle hausse du chômage qui pénaliserait politiquement Emmanuel Macron, lui qui a fait du retour au plein emploi sa priorité depuis 7 ans.

Comment expliquer ce brutal retournement économique de la France, mais aussi en Allemagne ? Comment endiguer le phénomène ? Quel est l’impact de l’inflation sur la globalité de l’économie du pays ? Est-ce qu’une réduction de la fiscalité sur les entreprises pourrait aider l’emploi ? Quels sont les secteurs les plus à risque ? À quel point les travailleurs français sont-ils pénalisés par la concurrence internationale ? Nos experts en débattent sur le plateau de l’Info s’éclaire.

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L'info s'éclaire - Recherche Premier ministre désespérément
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12/06/24 • 80 min

Nos invités :

  • Jeff Wittenberg, journaliste au service politique de France Télévisions
  • Émilie Zapalski, communicante politique
  • Nicolas Barré, directeur de la rédaction de Politico France
  • Stéphane Zumsteeg, directeur du département Politique et Opinion d'Ipsos

L'onde de choc est énorme. De la dissolution de l'Assemblée nationale à la démission de Michel Barnier, tout est à recommencer. Trois mois à peine après son arrivée à Matignon, le Premier ministre est contraint de poser sa démission suite la motion de censure votée à l'Assemblée nationale par les députés du Nouveau Front populaire et du Rassemblement national. Le président de la République n'a toujours pas nommé son successeur. Lucie Castets, Bernard Cazeneuve, Thierry Breton, Jean-Noël Barrot, Bruno Retailleau, Sébastien Lecornu sont les personnalités les plus pressenties pour remplacer Michel Barnier... À moins que le Président décide de surprendre une fois de plus les Français ?

Emmanuel Macron va-t-il respecter les votes des électeurs et gouverner avec la coalition de gauche, majoritaire dans l'hémicycle ? Ou va-t-il tenter de court-circuiter la France Insoumise une seconde fois en préférant s'allier avec des représentants du centre-droit comme François Bayrou ? Ce qui est sûr, c'est que la situation politique est plus instable que jamais depuis la dissolution de l'Assemblée en juillet 2024 et que la position du Président n'est pas claire. Quelles seront les conséquences pour les Français alors qu'un budget n'a toujours pas été établi ? À quoi ressemblera le prochain gouvernement d'Emmanuel Macron ? Quelles sont les solutions qui restent à celui qui refuse de quitter son poste à la tête de l'État ? Nos experts en débattent sur le plateau de l'Info s'éclaire.

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Nos invités :

  • Jonathan Marie, professeur d’économie à l’Université Sorbonne Nouvelle
  • Laure Salvaing, directrice générale de Verian France
  • Serge Climino, journaliste politique à France Télévisions
  • Arnaud Benedetti, rédacteur en chef de la Revue Politique et Parlementaire

Michel Barnier, à la rencontre des représentants des départements... Ces derniers sont furax depuis l’annonce des coupes budgétaires drastiques annoncées par le Premier ministre. Ces restrictions financières touchent des secteurs clés, tels que les aides sociales, l'entretien des infrastructures ou encore les services d'urgence. Les élus locaux dénoncent une réduction de leurs moyens d’action, rendant de plus en plus difficile l'accompagnement des populations vulnérables. Ils soulignent que ces décisions accentuent les inégalités territoriales et mettent en péril l'équilibre des collectivités, appelant le gouvernement à reconsidérer ses priorités pour préserver les services publics essentiels.

Depuis sa remise en service, l’ancien négociateur, déjà rompu à l’exercice, n’a pas l’air de faire campagne. Certains lui reprochent son positionnement politique jugé opportuniste, oscillant entre les sensibilités centristes et conservatrices, depuis sa candidature à la primaire des Républicains. D'autres dénoncent son discours parfois perçu comme trop technocratique et éloigné des préoccupations des citoyens. Par ailleurs, ses propositions sur des sujets tels que la souveraineté nationale ou l'immigration ont suscité des débats, alimentant des tensions au sein de son propre camp politique.

Alors que les appels à la grève et les plans sociaux se multiplient, le gouvernement est de nouveau dans le viseur des paysans. Les tensions aussi bien économiques que sociales sont palpables. Et les agriculteurs s’apprêtent à durcir le ton. Ce lundi 18 novembre 2024, ces derniers ont prévenu : la grève s’organise. La FNSEA des jeunes agriculteurs a lancé un appel à une mobilisation nationale pour interpeller les pouvoirs publics. Comment expliquer ce regain de colère après les grandes manifestations de l’hiver dernier ? Visiblement les agriculteurs ont le sentiment qu’ils ne sont toujours pas entendus et que leur métier leur échappe. En signe de protestation, des pneus usagés ont été déversés devant une entreprise accusée d’importer du vin de l’étranger. Une nouvelle démonstration de la grogne agricole qui réaffirme un malaise grandissant. Cette gronde prend de l’ampleur un peu partout en France, dans un contexte difficile.

Alors, comment Michel Barnier se sortira de l’impasse ? Le débat est ouvert avec nos invités.

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Invités :

Tâm Tran Huy, journaliste politique à Public Sénat

Jean-Christophe Gallien, politologue et communicant politique

Antoine Comte, éditorialiste politique franceinfo tv

Tout change, mais rien ne change. Yaël Braun-Pivet conserve son perchoir. Après les trois tours de scrutin hier, la candidate sortante a été réélue à la présidence de l’Assemblée nationale. Il semble qu’elle ait bénéficié des voix Les Républicains. La gauche et son candidat André Chassaigne (NFP) crient au scandale mais la caravane macroniste passe. Quelle influence ce vote peut-il avoir sur le profil de celui ou de celle que, le moment venu, Emmanuel Macron appellera pour occuper le poste de Premier ministre, et surtout, former un gouvernement ? Pour Tâm Tran Huy, journaliste politique à Public Sénat, cette élection a été un moment éclairant expliquant qu’ « après le scrutin des législatives, on avait l’impression que la seule chose qui était claire était que le camp présidentiel avait perdu, et là on découvre que peut-être que non ». Elle pointe ainsi du doigt les difficultés que va avoir le NFP pour s’imposer à Matignon. De son côté, Antoine Comte qualifie le moment d'historique et aborde une alliance « bloc central et LR qui peut peut-être fonctionner », même s’il se questionne sur l’avis des Français par rapport à cette nomination, eux qui avaient placé le NFP en tête. Quant à Jean-Christophe Gallien, il voit la réélection de Yaël Braun-Pivet comme une pause de régime à l’intérieur de la Vème République avec un nouvel équilibre politique temporaire et historique. À propos de l’entente entre les LR et le camp présidentiel, elle dépasse largement une simple alliance législative et s’inscrit dans un pacte politique plus global.

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Invités :

Gilles Bornstein, éditorialiste politique franceinfo tv

Antoine Comte, éditorialiste politique franceinfo tv

Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste politique francetv

Gaël Sliman, président et co-fondateur de l’institut de sondage Odoxa

En un rien de temps cette fois, chaque groupe politique a su nommer le nom de son candidat pour le perchoir de l’Assemblée nationale. Il n’y aura qu’un seul élu et celui-ci aura un poids important dans le nouvel équilibre politique. Nos politiques sentent-ils peut-être que les Français en ont marre ? Les députés devront élire leur président cet après-midi à bulletin secret. Au premier et au second tour, il faut obtenir la majorité absolue des 577 voix pour être élu. Mais un troisième tour sera sûrement nécessaire compte tenu de la situation actuelle de l’Assemblée nationale. Parmi les candidats, André Chassaigne (NFP), Yael Braun-Pivet (Renaissance), Sébastien Chenut (RN), Naïma Moutchou (Horizons), Philippe Juvin (LR) et Charles de Courson (Liot). Gilles Bornstein parle d’un calcul mathématique afin de faire élire son candidat. Du côté du NFP, qui pèse 193 voix, il y a peu de chance de faire plus. Pour le battre, il faut donc présenter un candidat susceptible de faire plus de 200 voix. Il faudra donc essayer de bâtir des accords pour qu’un candidat consensuel remporte plus de voix. Il faut donc que des blocs se mettent d’accord pour arriver à ce total. « Personne ne peut avoir cette majorité absolue aujourd’hui, donc il faut à tout prix négocier », explique à son tour Antoine Comte. Parmi les alliances possibles, il y a notamment Philippe Juvin (LR) et Yaël Braun-Pivet, tous deux « macron compatibles ». Sans parler des non-candidats qui pourraient apparaître au troisième tour afin de faire consensus, comme Valérie Létard. Dans une situation si complexe, Gaël Sliman rappelle qu’il n’y a pas de sondage sur la présidence de l’Assemblée pour plusieurs raisons. Tout d’abord, car cela n’intéresse pas particulièrement les Français. « On leur parle de gens totalement inconnus qui font de la tambouille politique. [...] Ce spectacle là est catastrophique ».

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Invités :

Jeff Wittenberg, journaliste politique à France TV

Benjamin Morel, constitutionnaliste, maître de conférence en Droit public

Paul Barcelonne, journaliste politique à Franceinfo

Comment vont s’organiser les prochaines semaines du gouvernement ? La France vit actuellement une situation politique inédite. Mardi 16 juillet, à l’occasion du premier conseil des ministres post élections législatives, Gabriel Attal a, une nouvelle fois, présenté sa démission au président de la République, qui l’a cette fois-ci acceptée. Néanmoins, le gouvernement reste en place afin d’expédier les affaires courantes et assurer la continuité de l’État. Les ministres, dont 17 ont été élus députés, pourront également continuer à siéger à l’Assemblée nationale et pourront élire demain, celui ou celle qui remplacera Yaël Braun Pivet à la présidence de l’hémicycle. Faute de majorité claire pour choisir un Premier ministre, le gouvernement démissionnaire devrait rester en place plus longtemps qu’en temps normal. « Aujourd’hui, il n’y a pas d’autre solution. Il n’y a pas de majorité. Il faut que les services de l’État soient tenus. Il y a besoin d’un gouvernement. Il y a aussi une sécurité à tenir, surtout en vue des Jeux Olympiques. Faute de mieux, le gouvernement reste en place », explique Jeff Wittenberg.

De son côté, Gérald Darmanin, même s’il continue d’assurer ses fonctions au ministère de l’Intérieur, entend lui aussi se positionner. « Il joue déjà le coup d’après. (...) Il joue aussi sa direction politique. Il ne compte pas laisser passer le train », explique Paul Barcelonne. À gauche, le Nouveau Front populaire est au bord de la rupture et les négociations pour proposer un Premier ministre sont au point mort.

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L'info s'éclaire - Fumée blanche à Matignon ? - 16 juillet 2024
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07/16/24 • 84 min

Invités :

Antoine Comte, éditorialiste politique franceinfo tv

Charlotte Urien-Tomaka, journaliste au service politique de RFI

Baptiste Fournier, président de Virtus, spécialiste de la communication

Le premier Conseil des ministres post-législatives se réunit ce mardi 16 juillet 2024 dans la matinée. Gabriel Attal devrait présenter une nouvelle fois sa démission. Cette fois-ci, elle devrait être acceptée par le chef de l’État mais le Premier ministre démissionnaire devrait continuer à gérer « les affaires courantes » en attendant de former un nouveau gouvernement. « C’est important pour le président d’assurer la continuité de l’État. Dans 10 jours vont se tenir les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris, vous ne pouvez pas avoir un gouvernement qui n’est pas à la tâche. Certains ministres ont travaillé des mois sur cet événement », commente Antoine Comte. Un cas inédit qui laisse la classe politique dans le flou.

De son côté, la gauche ne parvient toujours pas à s’entendre sur le nom d’un potentiel Premier Ministre. Le Nouveau Front Populaire semble au bord de la crise. Lundi 15 juillet, le Parti socialiste (PS), le Parti communiste français (PCF) et les Écologistes ont proposé le nom de Laurence Tubiana pour briguer Matignon mais ce nom a été rejeté par la France Insoumise quelques heures après. Les Insoumis estiment que la candidate est trop « Macron compatible » et lui reprochent de vouloir former un gouvernement de coalition avec la camp de la Majorité. La gauche réussira-t-elle à sortir de l’impasse ? Rien n’est moins sûr d’autant que LFI a suspendu les négociations sur Matignon jusqu’à nouvel ordre. « Le temps joue contre eux », souligne Antoine Comte.

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Nos invités :

Thomas Guénolé, politologue

Anne Bourse, journaliste au service politique de France Télévisions

Stéphane Zumsteeg, directeur du département Politique et Opinion d’Ipsos

Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI

Michel Barnier et son gouvernement sont enfin entrés dans l’arène. Ils ont affronté l’Assemblée nationale ce mercredi 2 octobre avec une gauche très remontée, une ex majorité perplexe et un tout tempéré par un Rassemblement National plutôt conciliant. Lors du traditionnel discours de politique générale, le nouveau Premier ministre a présenté sa feuille de route dans l’hémicycle. L'ancien négociateur en chef du Brexit a dévoilé un programme axé sur des réformes économiques ambitieuses et un engagement ferme en faveur de la rigueur budgétaire, dans un contexte économique tendu."Nous devons retrouver le chemin de la compétitivité et de l’équilibre des comptes publics," a martelé Michel Barnier dans un discours de près d'une heure, salué par les élus de droite mais accueilli avec scepticisme par une opposition déjà mobilisée. "Notre mission est claire : remettre la France au travail, restaurer la confiance et protéger les Français."

Le Premier ministre a rapidement détaillé les principales mesures de son programme, parmi lesquelles une série de réformes structurelles, dont la réduction des dépenses publiques, à commencer par une économie de 4 milliards d’euros sur les pensions de retraite, qui vise à garantir la viabilité du système à long terme. Il a également annoncé des mesures en faveur de l’emploi, avec notamment une baisse des charges pour les entreprises, ainsi que la volonté de réformer le marché du travail pour le rendre plus flexible.

Sur le plan fiscal, Michel Barnier a réaffirmé son engagement à alléger la pression fiscale sur les classes moyennes, tout en écartant l’idée d’un rétablissement de l'Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF). "Nous devons alléger le fardeau fiscal qui pèse sur les forces vives de notre pays, tout en veillant à une juste répartition de l'effort," a-t-il déclaré. L’immigration et la sécurité, deux sujets chers à l’ancien négociateur, ont également été au centre de ses priorités. Le Premier ministre a annoncé un renforcement des contrôles aux frontières et un durcissement des conditions d’accueil des immigrés, tout en soulignant l’importance de "l’intégration dans le respect des valeurs républicaines".

Malgré ces annonces, le gouvernement Barnier devra faire face à de nombreux défis, avec une opposition déterminée à bloquer plusieurs réformes et une contestation sociale en cours sur certaines mesures sensibles. La réponse de l'Assemblée nationale sera un premier test pour ce nouveau gouvernement, qui s'annonce résolument réformateur, mais dont l’équilibre reste fragile. "Nous avons les moyens de réussir, mais il nous faudra du courage," a conclu Michel Barnier avant de quitter la tribune, sous les applaudissements de ses soutiens.

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L'info s'éclaire currently has 171 episodes available.

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The podcast is about News, Info, Podcast, Podcasts and Information.

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The episode title 'Qui pour tenir l’Assemblée nationale ? - 18 juillet 2024' is the most popular.

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À quelle fréquence les épisodes de L'info s'éclaire sont-ils publiés ?

Episodes of L'info s'éclaire are typically released every 1 day, 1 hour.

Quand le premier épisode de L'info s'éclaire a-t-il été diffusé ?

The first episode of L'info s'éclaire was released on Feb 13, 2024.

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