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C dans l'air

France Télévisions

Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.

Retrouvez C dans l’air en replay sur france.tv : http://bit.ly/c-dans-l-air-podcast

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EXPERTS

FRANÇOIS CLEMENCEAU

Rédacteur en chef international – « Le Journal du Dimanche »

ALAIN BAUER

Professeur au CNAM

Responsable du pôle sécurité, défense et renseignement

PIERRE HAROCHE

Chercheur en sécurité européenne

Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire

ELSA VIDAL

Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe – « RFI »

Mobilisation, nucléaire : Poutine ne « bluffe » pas

Depuis la contre-offensive éclair de l’armée ukrainienne qui a mis en déroute une partie de l’armée russe dans le nord-est, la réponse du Kremlin était attendue. Fidèle à lui-même, placé au pied du mur, y compris par ses alliés asiatiques qui ont tenté la semaine dernière de lui faire entendre raison, Vladimir Poutine a finalement choisi l’escalade. Hier les autorités pro-russes, installées par Moscou, ont annoncé la tenue de référendums d’annexion dans quatre régions d’Ukraine en fin de semaine. Ces référendums confirmés par le maître du Kremlin, dans un discours télévisé enregistré et diffusé ce mercredi, ouvrent la voie à l’annexion par la Russie de pans entiers du territoire ukrainien. Un rattachement qui aurait deux conséquences : les offensives ukrainiennes dans le Donbass deviendraient des agressions contre la Russie ce qui l’autoriserait à se défendre « par tous les moyens » et l’ « opération militaire spéciale », comme l’appelle jusqu’ici Moscou, ne serait plus une guerre de conquête mais une guerre défensive.
Vladimir Poutine a d’ailleurs une nouvelle fois brandi ce mercredi la menace nucléaire contre les pays occidentaux qu’il accuse de vouloir « détruire » la Russie. « Nous utiliserons certainement tous les moyens à notre disposition pour protéger la Russie et notre peuple. Ce n’est pas du bluff », a-t-il prévenu la mine grave. Le maître du Kremlin a également décrété la mobilisation militaire partielle pour le front ukrainien. Pas de mobilisation générale dans le décret publié aujourd’hui mais celle de 300 000 réservistes alors que l’armée russe a subi de sérieux revers au nord-est et au sud de l’Ukraine ces dernières semaines. Après sept mois de conflit, elle reconnaît la perte de 6 000 hommes. Mais le bilan pourrait être dix fois plus élevé selon certaines estimations ukrainiennes.
Le discours très offensif de Vladimir Poutine n’a pas laissé de marbre le monde diplomatique. Ainsi l’annonce de la convocation dans l’urgence de consultations, menée par une force d’occupation, a soulevé les critiques à l'Assemblée générale des Nations unies qui se tient actuellement à New York. « Une provocation », a même commenté hier Emmanuel Macron à la tribune de l’ONU, dans un discours particulièrement sévère. C'est « un retour à l'âge des impérialismes et des colonies », a tancé le chef de l’Etat avant de s’adresser aux pays qui, par crainte, commodité voire une certaine convergence de vues avec Moscou, ont gardé jusqu’ici le silence sur la guerre en Ukraine. « Ceux qui se taisent aujourd’hui servent malgré eux, ou secrètement avec une certaine complicité, la cause d’un nouvel impérialisme, d’un cynisme contemporain qui désagrège notre ordre international sans lequel la paix n’est possible », a-t-il martelé.
Le vice-chancelier allemand, Robert Habeck, a fustigé la mobilisation partielle des Russes en âge de combattre annoncée par le président russe. « Avec la mobilisation partielle, la Russie pratique une politique d'escalade de cette guerre d'agression en violation avec le droit international. C'est une étape grave et mauvaise que nous condamnons fermement ». Washington a de son côté dit « prendre au sérieux » la menace nucléaire de Poutine et dénonce une rhétorique irresponsable. La Chine a, elle, enfin appelé à un « cessez-le-feu à travers le dialogue ».

DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45

FORMAT : 65 minutes

PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé

REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40

RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Benoît Lemoine

PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions

Retrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :

INTERNET : francetv.fr

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RUSSIE/OTAN : LE POINT DE NON-RETOUR – 29/06/22

Invités

FRANÇOIS CLEMENCEAU

Rédacteur en chef international - « Le Journal du Dimanche »

GÉNÉRAL JEAN-PAUL PALOMÉROS

Ancien chef d’état-major / Ancien commandant suprême

de la transformation de l’OTAN

JEAN-DOMINIQUE MERCHET
Éditorialiste - « l’Opinion »

Spécialiste des questions de défense et diplomatie

RYM MOMTAZ

Chercheuse en politique étrangère et de défense

International Institute for Strategic Studies

La guerre en Ukraine est ce mercredi au cœur du sommet de l'Otan à Madrid, où plus de 40 chefs d'Etat et de gouvernement sont réunis pour discuter de l'avenir de l'Alliance atlantique, que Suède et Finlande vont pouvoir rejoindre. Il n’y a en effet plus d’obstacle désormais, la Turquie a levé son véto à l’ouverture du sommet. Jusque-là Ankara bloquait l'adhésion de Stockholm et d'Helsinski, car elle les accusait d'accueillir des militants de l'organisation kurde PKK, qu'elle considère comme « terroriste ». Mais les deux capitales se sont engagées à coopérer avec Ankara.

Un accord salué par Emmanuel Macron qui ouvre la voie ces prochaines années à l’entrée de la Finlande dans l’OTAN, ce qui ne serait pas anodin pour l’Alliance car le pays nordique dispose de l’une des premières forces d’artillerie en Europe. Mais d’ici là, face à la « menace directe » que représente la Russie, les pays de l'Otan ont décidé de renforcer leur présence militaire sur le continent européen, et en premier lieu les Etats-Unis avec la mise en place durable d’unités et de structures pérennes. Ainsi après avoir expliqué que cette année « 20 000 militaires américaines supplémentaires » ont été déployés « en Europe pour renforcer nos lignes en réponse aux initiatives agressives de la Russie », le président américain Joe Biden a indiqué que les capacités américaines vont être dopées en Espagne, en Pologne, en Roumanie, au Royaume-Uni, en Allemagne, en Italie et dans les États baltes où la montée de tension autour de Kaliningrad inquiète.

L’enclave russe coincée entre la Pologne et la Lituanie, qui constitue le point le plus avancé de la Russie en Europe, est depuis des années un objet de préoccupation des membres de l’Alliance. Mais avec l’invasion de l’Ukraine et surtout la mise en place le week-end dernier par la Lituanie de restrictions d’approvisionnement de certaines marchandises, en adéquation avec les sanctions adoptées par l'UE, Kaliningrad est redevenue un sujet prioritaire. Car la Russie dénonce un blocus et promet de réagir. Moscou a également estimé ce mercredi que le sommet de l'Otan à Madrid démontre l'agressivité de l'Alliance à l'égard de la Russie et a qualifié l'élargissement à la Finlande et à la Suède de « profondément déstabilisateur ».
Alors jusqu’où ira ce bras-de-fer ? Se dirige-t-on vers une escalade entre Russie et Lituanie ?

DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45

FORMAT : 65 minutes

PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé

REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40

RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son

PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions

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Turquie, Iran : Poutine soigne ses amis

LES INVITÉ.ES :

Pascal BONIFACE - Directeur de l'IRIS, l'Institut de Relations internationales et stratégiques, auteur de La géopolitique, tout simplement, publié chez Eyrolles
- Elsa VIDAL - Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe de « RFI »
- Rym MOMTAZ - Chercheuse en politique étrangère et de défense à l’International Institute for Strategic Studies
- Jean-Dominique MERCHET - journaliste à « l’Opinion », spécialiste des questions de Défense et Diplomatie

Alors que l’armée russe intensifie ses bombardements dans le Donbass, Poutine continue d’avancer ses pions sur la scène internationale. Après avoir conforté son alliance avec la Chine de Xi Jinping, le maître du Kremlin est à Téhéran ce mardi 19 juillet. Une visite chez son allié iranien pour rencontrer les dirigeants de la République islamique et participer à un sommet tripartite sur la Syrie avec le président turc, Recep Tayip Erdogan. Mais une autre guerre est aussi sur la table des discussions : l'Ukraine.

Le président russe et son homologue turc devraient notamment évoquer la question des céréales ukrainiennes. Des négociations impliquant Moscou, Kiev, Ankara et l'ONU doivent avoir lieu aussi dans les jours à venir en Turquie, après des avancées dans les pourparlers le 13 juillet. Celles-ci visent à faire sortir par la mer Noire quelque 20 millions de tonnes de céréales bloquées dans des silos ukrainiens à cause de l'attaque menée par la Russie en Ukraine. Avec ce déplacement, Vladimir Poutine cherche également à développer des partenariats économiques loin de l'Occident. La Russie et l’Iran, soumis à de fortes sanctions par les puissances occidentales, entendent ainsi renforcer leurs liens économiques. Le commerce entre les deux pays a d’ailleurs déjà augmenté de 81 % l'an dernier pour atteindre un niveau record de 3,3 milliards de dollars. Mais il y aurait un autre enjeu dans ce sommet, selon les États-Unis : l'achat à l'Iran de centaines de drones par la Russie. L’information a été démentie par Téhéran mais nombre d’experts la juge crédible, l’Iran disposant d'une technologie qui fait défaut à la Russie.

De son côté le président américain vient de terminer une tournée diplomatique de quatre jours, l’ayant conduit entre le 13 et le 16 juillet en Israël, en Cisjordanie et en Arabie saoudite. Un dernier déplacement controversé durant lequel il a tenté de réaffirmer l’influence des Etats-Unis au Moyen-Orient promettant que son pays « ne se détournerait pas » de la région en laissant « un vide que pourraient remplir la Chine, la Russie ou l’Iran ». Mais parmi tous les sujets, c’est surtout sa rencontre avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane qui a retenu l’attention. Désigné par la CIA comme l’ordonnateur de la liquidation du journaliste Jamal Khashoggi, MBS n’est désormais plus ostracisé mais courtisé par les puissances occidentales qui souhaiteraient une augmentation de la production de pétrole. Ce que ce dernier refuse pour l’instant.

Car la question de l’énergie est devenue centrale, en particulier en Europe où les pays cherchent à nouer de nouvelles alliances énergétiques pour remplir leurs stocks avant l’hiver, notamment avec l'Azerbaïdjan. Mais l’inquiétude monte face aux coupures de la Russie et ce alors que plusieurs pays comme la Grande-Bretagne et l’Italie traversent une crise politique sur fond de forte inflation et de flambée des prix des carburants, du gaz et de l’électricité. Dans ce contexte le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a appelé hier les Européens à poursuivre les sanctions contre Moscou et à « tenir le coup » face à la hausse des prix de l’énergie et de l’alimentation, conséquences de la guerre en Ukraine. « C’est un test de résistance pour nos sociétés. Je suis sûr que [le président russe Vladimir] Poutine compte sur la fatigue des démocraties. Je suis sûr qu’il croit que les démocraties sont faibles. Les sociétés européennes ne peuvent pas se permettre d’être fatiguées », a-t-il déclaré.

Alors quels sont les enjeux du sommet de Téhéran entre la Russie, l’Iran et la Turquie ? La guerre en Ukraine est-elle en train de renforcer l’axe Moscou-Pékin-Téhéran ? Les États-Unis ont-ils perdu la main au Moyen-Orient ? Comment la France et ses voisins européens se préparent-ils à une pénurie de gaz ? Enfin pourquoi Vladimir Zelensky fait-il le ménage dans son entourage ?

DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45

FORMAT : 65 minutes

PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé

REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40

RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son

PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions

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09/30/22 • 1 min

GAZODUC : LA NOUVELLE GUERRE – 29/09/22

EXPERTS

Anthony BELLANGER

Editorialiste, spécialiste des questions internationales - France Inter

Emmanuel DUPUY

Consultant Défense Sécurité et président de l'Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE)

Elsa VIDAL

Rédactrice en chef de la rédaction en langue russe - RFI

Sylvie MATELLY

Economiste - Directrice adjointe de l'IRIS - Institut de Relations Internationales et Stratégiques

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ASSEMBLÉE, INFLATION... ÇA SE COMPLIQUE POUR MACRON ! – 30/06/22

Invités

BRUNO JEUDY

Rédacteur en chef du service politique - « Paris Match »

MATHIEU PLANE

Économiste - OFCE

Observatoire Français des Conjonctures Économiques

FANNY GUINOCHET

Éditorialiste - « France Info » et « La Tribune »

Spécialiste des questions économiques et sociales

ISABELLE FICEK

Journaliste politique - « Les Echos »

Alors que la nouvelle Assemblée nationale est en train de distribuer les postes-clefs de son organisation, avec notamment l’élection ce jeudi d’Éric Coquerel (LFI) à la présidence de la très convoitée commission des finances, la bataille politique a déjà commencé sur la question du pouvoir d’achat qui fera l’objet du premier texte examiné par les députés début juillet. Ainsi avant même que les contours du projet de loi ne soient annoncés, l’exécutif multiplie les déclarations.

Lors d'une conférence de presse en marge de la clôture du G7, Emmanuel Macron a dénoncé hier les producteurs et spéculateurs qui s'enrichissent depuis le début de la guerre à cause de l'envolée des prix de l'énergie notamment. « Aujourd'hui nous avons des gens qui font beaucoup d'argent sur la guerre. On appelle ça des profiteurs de guerre », a critiqué le chef de l’Etat avant d’appeler les pays européens à trouver une réponse de manière « coordonnée » à cette situation. Parallèlement , le gouvernement ces derniers jours s’est adonné à une surenchère d’annonces de mesures et de dépenses pour lutter contre l’inflation (5,2 % en mai sur un an selon l'Insee) : prolongation de la remise de 18 centimes sur les carburants, chèque alimentation de 100 euros qui va coûter 1 milliard d’euros, revalorisation du point d’indice des fonctionnaires pour 7 milliards d’euros ou encore l’augmentation des prestations sociales (retraite, RSA, allocations logement) qui coûteraient également 7 milliards d’euros. Le coût total de ces aides aux Français devrait atteindre 50 milliards d’euros d’ici la fin de l’année. Un financement qui ne posera pas de problème selon le ministre chargé des Comptes publics Gabriel Attal, qui avance la somme de 55 milliards d’euros de recettes supplémentaires.
Mais sans majorité absolue, la coalition présidentielle peut-elle faire voter ce texte ? Pour préparer la bataille à venir dans l’hémicycle, les macronistes mais aussi leurs opposants avancent déjà leurs pions. Du côté de la Nupes, on annonce cette semaine le dépôt d'une proposition de loi, qui reprend le programme de Jean-Luc Mélenchon, avec deux mesures phare : le blocage des prix sur les produits de première nécessité et les carburants et l’augmentation du Smic à 1.500 euros net. Au RN, on défend également les mesures portées par Marine Le Pen durant la campagne présidentielle : baisse de la TVA sur le gaz, l’électricité, les carburants et suppression de cette taxe pour une centaine de produits de première nécessité.

Mais plusieurs figures du gouvernement ont déjà balayé ces propositions, à l’image de Bruno Le Maire. « Le compromis, ce n’est pas le reniement, il y a un projet. Je suis viscéralement attaché à ce que nous gardons la ligne de notre projet » a-t-il déclaré. Le ministre de l’Economie a également invoqué la situation des finances publiques pour rejeter les mesures de l’opposition qu’il juge « trop coûteuses ». « Nous avons atteint la côte d'alerte sur les finances publiques » a-t-il lancé, avant de rappeler son objectif de revenir à 3 % de déficit public à la fin du quinquennat. Une tentative de séduire la droite, chez qui la macronie pourrait espérer trouver les voix nécessaires à l’adoption de son texte alors que la colère sociale commence à se faire entendre dans la rue.

Lundi les syndicats du secteur du transport routier mais aussi des industries électriques et gazières avaient appelé les salariés à se mobiliser pour les salaires. Mardi, la suppression annoncée de la redevance et un projet de fusion ont largement mobilisé les salariés des radios et chaînes du service public. Jeudi, les personnels périscolaires étaient en grève pour demander une revalorisation des salaires. Des préavis de grève ont également été déposés dans les transports (aéroport de Paris, SNCF) pour ce week-end et le 6 juillet prochain.

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The podcast is about News, International, Society & Culture, Talkshow, Podcasts and France.

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The episode title 'MOBILISATION, NUCLÉAIRE : POUTINE NE « BLUFFE » PAS – 21/09/22' is the most popular.

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Episodes of C dans l'air are typically released every 23 hours.

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The first episode of C dans l'air was released on Oct 9, 2018.

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