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Air open, le podcast tennis de L'Équipe - Nadal, le New Yorker

Nadal, le New Yorker

09/12/19 • 43 min

Air open, le podcast tennis de L'Équipe

Il a écrit sa légende sur terre battue au fil de ses douze titres conquis à Roland-Garros. Mais c'est bien à l'US Open, avec quatre sacres à New York, que Rafael Nadal a assis sa réputation de joueur complet.


Jusqu'en 2010, New York a refusé ses avances. L'US Open est alors le seul majeur qui manque à l'Espagnol. Mais pour sa première finale, Nadal fait admirer son nouveau service à plat et s'impose devant Djokovic. Neuf ans plus tard, l'Espagnol a triomphé une quatrième fois à Flushing Meadows, son meilleur total en Grand Chelem après Roland-Garros (12). Comment l'expliquer ? Comment expliquer que New York tienne une telle place dans son histoire ?


Ce dix-neuvième sacre en majeur du Majorquin - à une longueur du record de Roger Federer - n'a toutefois pas été arraché sans mal. En emmenant Nadal dans un match en cinq sets, Daniil Medvedev a sidéré le court Arthur Ashe par son endurance. Alors que le Russe de 23 ans disputait son 23e match en six semaines (pour 20 victoires au final), n'a-t-il pas prouvé qu'il était le représentant le plus dangereux de la « Next Gen » pour le Big 3 ?


Serena Williams, elle, voit déjà son hégémonie contrariée. Bloquée à vingt-trois titres en Grand Chelem, l'Américaine a encore échoué dans sa quête d'égaler le record de Margaret Court (24). Son adversaire victorieuse en finale, Bianca Andreescu, a épaté tout le monde. La Canadienne de 19 ans pourrait bien prendre les rênes d'un circuit féminin en quête de patronne. Son jeu complet et sa main exceptionnelle sont-ils les signes d'une métamorphose du jeu chez les dames ?


Animé par Antoine Benneteau, avec Quentin Moynet, Franck Ramella et Julien Reboullet.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Il a écrit sa légende sur terre battue au fil de ses douze titres conquis à Roland-Garros. Mais c'est bien à l'US Open, avec quatre sacres à New York, que Rafael Nadal a assis sa réputation de joueur complet.


Jusqu'en 2010, New York a refusé ses avances. L'US Open est alors le seul majeur qui manque à l'Espagnol. Mais pour sa première finale, Nadal fait admirer son nouveau service à plat et s'impose devant Djokovic. Neuf ans plus tard, l'Espagnol a triomphé une quatrième fois à Flushing Meadows, son meilleur total en Grand Chelem après Roland-Garros (12). Comment l'expliquer ? Comment expliquer que New York tienne une telle place dans son histoire ?


Ce dix-neuvième sacre en majeur du Majorquin - à une longueur du record de Roger Federer - n'a toutefois pas été arraché sans mal. En emmenant Nadal dans un match en cinq sets, Daniil Medvedev a sidéré le court Arthur Ashe par son endurance. Alors que le Russe de 23 ans disputait son 23e match en six semaines (pour 20 victoires au final), n'a-t-il pas prouvé qu'il était le représentant le plus dangereux de la « Next Gen » pour le Big 3 ?


Serena Williams, elle, voit déjà son hégémonie contrariée. Bloquée à vingt-trois titres en Grand Chelem, l'Américaine a encore échoué dans sa quête d'égaler le record de Margaret Court (24). Son adversaire victorieuse en finale, Bianca Andreescu, a épaté tout le monde. La Canadienne de 19 ans pourrait bien prendre les rênes d'un circuit féminin en quête de patronne. Son jeu complet et sa main exceptionnelle sont-ils les signes d'une métamorphose du jeu chez les dames ?


Animé par Antoine Benneteau, avec Quentin Moynet, Franck Ramella et Julien Reboullet.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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undefined - Medvedev, Kyrgios, Andreescu, gare à la jeune garde !

Medvedev, Kyrgios, Andreescu, gare à la jeune garde !

Ils ont tous brillé outre-Atlantique cet été. Daniil Medvedev a triomphé à Cincinnatti, Nick Kyrgios à Washington et Bianca Andreescu à Toronto chez les dames. La nouvelle génération est-elle en train de prendre le pouvoir ?


Il a disputé trois finales en l'espace de trois semaines. Après deux revers à Washington et à Montréal, Daniil Medvedev a finalement remporté le Masters 1000 de Cincinnati. Au passage, le Russe de 23 ans s'est offert le numéro 1 mondial, Novak Djokovic, en demi-finale. Fraîchement bombardé dans le top 5 de l'ATP, Medvedev peut-il bousculer l'ordre établi à l'US Open (26 août - 8 septembre) ?


L'autre tube de l'été est signé du bad boy, Nick Kyrgios. L'Australien de 24 ans a notamment dominé Medvedev en finale à Washington. Mais il a de nouveau dégoupillé quelques jours plus tard à Cincinnati. Lors de son 2e tour face à Karen Khachanov, Kyrgios a insulté l'arbitre Fergus Murphy, puis craché en sa direction à la fin du match. Certes, le 29e mondial attire les foules, mais est-il vraiment une bénédiction pour le circuit ?


Son talent à elle ne semble cacher aucune zone d'ombre. Bianca Andreescu n'a que 19 ans, mais elle a déjà remporté deux tournois très importants cette saison (Indian Wells en mars et, donc, Toronto en août). Pour ce faire, elle s'est débarrassée de cinq joueuses du top 10. Sur un circuit féminin à la densité exceptionnelle, la Canadienne, 15e mondiale, peut-elle devenir la patronne ? Quelles sont ses limites ?


Animé par Antoine Benneteau, avec Sophie Dorgan, Franck Ramella et Quentin Moynet (à New York, par téléphone).


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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undefined - Bercy, fureur française

Bercy, fureur française

L’ultime Masters 1000 de la saison ressemble bien peu aux huit autres. Une surface très rapide. Un public brûlant et exigeant. Des joueurs souvent éreintés mais des Français toujours performants. Bienvenue à Paris.


L’automne ne serait pas tout à fait le même sans le tumulte de Bercy. Tout le monde y arrive exténué mais chacun désire ardemment s’y imposer. Cette envie bouscule fréquemment la hiérarchie à Paris. Karen Khachanov a ainsi terrassé Novak Djokovic l’an passé en finale. Les Français y réussissent mieux que dans aucun autre Masters 1000. Les succès de Forget (1991), Grosjean (2001) et Tsonga (2008) en attestent. Mais qu’est-ce qui rend si spécial ce tournoi ? Quelle magie s’empare chaque année de l’arène de la capitale ?


Khachanov vainqueur l’an passé, Jack Sock en 2017, la surprise est parfois totale, mais certains grands viennent aussi y asseoir leur autorité sur une saison. Ce fut le cas d’Andy Murray en 2016. L’Écossais y avait conquis la place de numéro un mondial pour la première fois avant de connaître plusieurs blessures à la hanche, faisant craindre une fin de carrière. Sauf que Sir Andy a ressuscité, le 20 octobre, en l’emportant à Anvers. Est-ce le début d’une renaissance ?


Enfin, Bercy reste chaque année l’épilogue de la course aux Masters. Ils sont six déjà qualifiés (Nadal, Djokovic, Medvedev, Federer, Thiem, Tsitsipas). Alexander Zverev devrait être le septième. Mais ils sont encore six en lice pour le dernier billet londonien. Qui sera du voyage ? Le colosse Matteo Berrettini (8e à la Race), l’exemplaire Roberto Bautista Agut (9e) ? Le double-finaliste de Bercy, Gaël Monfils (13e), a-t-il encore une chance ?


Animé par Antoine Benneteau, avec Sophie Dorgan et Julien Reboullet.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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